Autres vues aériennes du Château et du village
La seigneurie de Gingins apparaît dans la première moitié du XIIe siècle, époque à laquelle elle dépendait des sires de Divonne.
Le château du XVe siècle, restauré à une date récente, fut le centre d’une seigneurie comptant plusieurs villages des alentours. Propriété de la famille de Gingins, il passe au XVIIe siècle en d’autres mains, appartient aux nobles de la Fléchère au XVIIIe siècle, pour faire retour au XIXe à la famille première propriétaire.
En 1839, le colonel Louis-Henri de Gingins rachetait le château qui rentra ainsi dans la famille à laquelle il appartenait depuis de longs siècles. La maison s'éteignit enfin en 1911 par la mort d'Albert, Louis-Henri de Gingins, dernier du nom,
Après avoir été, pendant huit siècles, une des plus illustres familles de Bourgogne transjurane et du duché de Savoie, elle était venue mourir dans les lieux mêmes d’où elle tirait son nom. Dans l’église, un superbe vitrail, offert par la famille, représente un des premiers de ses membres, un chevalier du XIIIe siècle. Cette église très ancienne est mentionnée pour la première fois en 1211. Elle a été fondée par les seigneurs du lieu
L'écurie
Quelques pierres tombales et vitrail dans l'église voisine
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